Etiquette : Commune
Évolution démographique de la Flandre française (1789-1999)
Notice historique sur Saint Pol sur Mer
Saint-Pol-sur-Mer
Auteur : Abbé Harrau – fichier : epub
Notice historique sur la commune de Petite Synthe
Notice historique sur la commune de Petite-Synthe
Auteur : M. Verbeke – fichier : epub
Notice historique sur la commune de Drincham
Notice historique sur la commune de Drincham
Auteur : M. Verbeke – fichier : epub
Notice historique sur Zuydcoote
Notice historique sur Zuydcoote
Auteur : Raymond de Bertrand – fichier : epub
Essai historique sur le Hoop
Essai historique sur le hoop
Auteur : Edmond de Coussemaker – fichier : epub
Essai historique sur le hoop
Auteur : Edmond de Coussemaker – fichier : pdf
Armorial des communes de la Flandre française
Armorial des Communes de la Flandre française
Auteur : Théodore Leuridan – fichier : pdf
Chronique de la commune de Steene par Albert Jannin
Chronique de la commune de Steene
Auteur : Albert Jannin – fichier : epub
Bailleul dans la Grande Guerre (1914-1918)
A la veille du premier conflit mondial, Bailleul est une paisible cité de 13.000 habitants entourée d’houblonnières et de grasses prairies. Les vieilles familles terriennes de la région y demeurent en son centre. L’industrie drapière et de dentelles occupe une grande partie de la population ouvrière vivant dans des courées insalubres à la périphérie de la ville.
Quatre ans plus tard, au sortir de la guerre, la ville aura été détruite à 98% et sa population réduite à 6.000 âmes.
Une Histoire de Fort Mardyck
Le fort espagnol (1622-1673)
Le nom de cette commune du littoral flamand vient d’un fort construit au XVIIe s. sur le territoire de Mardyck.
En 1622, à la demande des Espagnols, l’ingénieur dunkerquois Jean Gamel construit un fort d’une dimension de 900 sur 700 mètres. Il abritait en son sein des bâtiments militaires et des habitations destinées à l’état-major dont une église. Un fortin en bois, construit en pleine mer, était relié à ce fort.
Cet ensemble avait pour mission de protéger le littoral et notamment le canal de la Fosse de Mardyck, bras de mer passant à coté du fort qui permettait le mouillage de plusieurs navires, même à marée basse. 3 à 4.000 hommes composaient la garnison.